En ce début d’année, je vous adresse en mon nom et au nom du Club de l’EAC, mes Meilleurs Vœux de santé et de bonheur ainsi que vos projets se concrétisent.
2021 a été une année en demi-teinte ponctuée d’arrêts d’activités en présentiels, d’entrainements, d’adaptations des horaires pour assurer malgré tout la continuité des activités. Nous sommes fiers de nos équipes qui ont gardé le lien avec les athlètes et les jeunes et mis tout en œuvre pour reprendre une activité quasi normale dès le mois de Mai dernier.
Nous avons pu proposer le 25 Juin le « Meeting de Chambéry » sur piste, organiser des stages d’athlétisme et multi-activités en juillet, en Octobre et à Noël pour une cinquantaine d’athlètes à chaque fois.
Nous tenons aussi à mettre à l’honneur nos athlètes qui ont performé au plus haut niveau cette année comme Estelle Veillas finaliste aux Championnats du monde à Nairobi au marteau sous le maillot de l’équipe de France ou Nina Guillaud aux Championnats d’Europe Junior aux haies ou Margaux Guillaumot vice-championne de France du 3000m.
Et enfin, un grand coup de chapeau à nos bénévoles qui ont organisé des évènements majeurs sur le territoire savoyard comme le «Trail de l’Epine » rassemblant 500 coureurs et 85 bénévoles sur le site magnifique du château Reinach. La désormais incontournable manifestation « Odyssea » où l’EAC s’engage depuis 15 ans pour la partie technique, sportive et la buvette a remporté un vif succès, avec 6000 participants malgré le contexte. Mais aussi le « Semi-marathon de la Foire de Savoie », les « 10km de Chambéry » et « les Relais de Noël » de la Ravoire, ont été autant d’évènements que nous avons à cœur de poursuivre pour valoriser et promouvoir la pratique sportive, l’athlétisme au sein de notre territoire.
En parallèle le bureau a activement travaillé avec le Comité directeur à élaborer le projet Horizon 2024 qui donne la ligne directrice des ambitions du club sur les deux prochaines années et les objectifs à court et moyen terme suivants :
1 – Construire le lieu de vie du club, action démarrée en 2021, puisque l’EAC qui compte 650 licenciés ne dispose pas de lieu de vie pour accueillir correctement ses salariés, les adhérents, les partenaires - pour réunir les groupes de travail, le comité directeur et le bureau.
2 – Créer un réseau Fort de partenaires : nous avons eu plaisir à compter de nouveaux partenaires cette année et allons renforcer nos liens pour construire des partenariats durables autour de nos valeurs et notamment avec la mise en place de contrats tripartites club/partenaire/athlètes.
3 – Ouvrir l’athlétisme à tous : ce sont des groupes performance en sprint, sauts, lancers, demi-fond - des groupes running - un groupe découverte pour se faire plaisir - 5 écoles d’athlétisme dans l’agglomération dont Novalaise. Nous sommes aussi présents au Collège de St François avec la classe Athlé quatre heures par semaine et nous sommes intervenus dans les écoles primaires pour animer des initiations aux disciplines athlétiques - des prestations en entreprise.
4 – Elever le niveau sportif pour permettre à chacun de dépasser ses limites, accompagner les athlètes vers des performances de niveau nationales et internationales.
5 – Créer des évènements EAC incontournables à Grand Chambéry comme évoqué au préalable.
6 – Créer un projet de GRAND STADE sur le bassin : le stade Mas Barral n’est pas aux normes requises pour accueillir des compétitions régionales, disposer d’un équipement moderne viendra soutenir nos ambitions de performance, de qualité de nos entrainements, d’accueil des athlètes.
En pratique, cette année nous avons souhaité également densifier chaque catégorie, pour cela nous avons choisi d'accroître l'encadrement du club et avons à cœur de créer une équipe d’entraineurs solide pour répondre aux besoins de l’EAC : réactivité, encadrement de qualité, disponibilité, ... L’équipe s’est étoffée et compte 3 salariés à temps plein, 1 temp partiel et 2 Services Civiques.
L’année 2022 s’annonce encore plus riche puisque nous allons changer d’identité et endossé un nouveau logo simplifié, modernisé et un nouveau maillot pour accompagner notre nouvelle dynamique. 2022 s’annonce aussi tournée vers le développement durable, au travers de notre athlète « Ambassadrice Sport Planète » (projet lancé par la FFA et la MAIF), l’EAC s’engage pour le développement la pratique sportive éco-responsable. A suivre...
Je tiens à vous remercier pour le soutien renouvelé d’année en année que vous apportez à notre club et je reste déterminé à poursuivre les projets qui me tiennent à cœur : Obtenir un lieu de vie du club pour cette nouvelle année.
Olivier CORMIER
Président Entente Athlétique de Chambéry
Pistard, routard, combinard, sauteur, lanceur, jeune, compétition, loisir, haut niveau, découverte, nature, ville. Autant de mots à combiner qui, au sein des près de deux mille clubs, font l’athlétisme en France. Parmi les rouages essentiels de chaque structure, l’entraîneur, quel que soit son profil, occupe une place à part. Athle.fr vous donne rendez-vous chaque mois avec ces hommes et femmes de l’ombre. Rencontre avec Marie-Edith Simonet, 61 ans, entraîneure à l’EA Chambéry.
La bienveillance, l’attention, la douceur, voici quelques sentiments qui se dégagent lorsque l’on discute avec Marie-Edith Simonet. Avec son groupe de jeunes, elle explore la panoplie des lancers avec pour uniques buts la progression et le plaisir. Si elle connaît le haut niveau avec Estelle Veillas, ce n’est pas l’axe premier de son investissement dans l’athlétisme. Ce serait plutôt l’accomplissement humain à 360°.
Votre définition de l'entraîneur ?
Pour moi, c'est accompagner l'athlète dans sa progression, aller vers son épanouissement, aussi bien au niveau technique qu’au niveau mental. Dans le cas d'un jeune athlète, c’est aussi l'aider à acquérir son autonomie et lui donner les moyens nécessaires pour réaliser ces progrès, avec des exercices à sa portée, en ne le mettant jamais sous pression. Il faut lui donner envie de progresser, envie de venir s'entraîner. Il doit faire des efforts tout en sentant que le plaisir est toujours présent. Il faut également veiller à ce qu’il s'intègre dans le groupe et qu'il y ait une bonne harmonie avec ses camarades. Répondre aux inquiétudes de l'athlète, lors des entraînements, des compétitions, en cas de blessure, fait partie aussi du rôle du coach. On doit être bienveillant et à l’écoute, notamment des plus jeunes. On se doit d’être là lors des réussites mais aussi et surtout lors des échecs. Il faut sans cesse chercher régulièrement à modifier, adapter, améliorer des exercices, le déroulement des séances. Enfin, on doit savoir prendre du recul, analyser les séances à posteriori, se remettre en question si besoin.
Entraîneur à Chambéry, c'est plus dur qu'ailleurs ?
Je ne pense pas qu'on soit les plus mal lotis à Chambéry. Il y a quatre ans, la Mairie nous a construit un stade pour les lancers. C'est un véritable plus, au niveau sécurité. Et il est relativement bien abrité du vent. En hiver, c'est appréciable. L'inconvénient, c'est que cela nous isole du reste du club pendant les entraînements. Cela nous empêche d’être vus et peut-être de tenter certains athlètes de venir essayer. S’ils nous voyaient lancer, ils pourraient se dire « tiens, j’irai bien les rejoindre pour voir ». Le top serait d'avoir un local de musculation sur place, cela permettrait d'organiser différemment certaines des séances.
Ce qui vous énerve et vous plaît le plus dans votre fonction ?
Ce que je regrette, c'est de voir un athlète qui a du potentiel ne venir qu’une fois tous les quinze jours, voire moins. Ce qui m'énerve, c'est lorsque je vais au stade pour un athlète, et que celui-ci a oublié de me prévenir qu'il ne pouvait pas venir. Heureusement, c'est rare. Mais j’ai l’impression que les jeunes de maintenant décrochent plus vite qu’auparavant, qu’ils sont moins résistants et endurants aussi bien mentalement que physiquement. D’ailleurs, je fais des séances moins longues par rapport à il y a quelques années, histoire qu’ils soient toujours réceptifs à ce que je dis.
Ce qui me plaît le plus, ce sont les contacts humains avec les athlètes, tous ceux qui gravitent autour de l'athlé. Les voir progresser, quel que soit leur niveau. J’aime leur présenter des nouveaux exercices à envisager comme des défis et des jeux, et voir leur contentement ou leur fierté lorsqu'ils maîtrisent la nouveauté. Il y a aussi lorsqu'une séance d'entraînement ou une compétition marche bien le même jour, pour tous les athlètes, ça n'arrive pas si souvent que ça. Enfin, établir les plans d'entraînements, les progressions de cycle en cycle, chercher des exercices adaptés aux différentes situations, et difficultés propres à chaque athlète, c’est ce que j’apprécie dans ma fonction.
Vous êtes une coach "connectée" ou une entraîneure ‘’à l'ancienne" ?
Un mélange des deux. Les plans d'entraînement, je les fais à la main. Par contre, je regarde pas mal de vidéos, pour trouver et adapter des exercices, analyser des lancers. Quand les athlètes ne sont pas trop nombreux, je les filme parfois, pour qu'ils puissent se voir ensuite. Souvent, ils prennent mieux conscience du ou des mouvements parasites qu'ils peuvent faire et qu'il faudrait éviter. Ou bien, à l'inverse, faire ressortir un beau passage qu'ils font et qu'il faudrait pérenniser. Il y a des basiques dans les lancers mais aucun athlète n’a la même attitude, les mouvements ne sont pas stéréotypés. La vidéo peut être intéressante à ce niveau-là.
Votre plus beau souvenir ?
La saison d'hiver 2020-2021 perturbée par le Covid, une saison et une ambiance très particulières, avec seulement trois compétitions pour l'athlète de haut niveau que j'entraîne, Estelle Veillas. Mais trois compétitions ponctuées par de très beaux records personnels qui validaient tout le travail effectué, et à la clef le niveau de performance requis pour les Europe et les Mondiaux juniors. Comme Estelle était athlète listée, elle a eu le droit de s’entraîner et s’est donc retrouvée toute seule sur les aires de lancers. On a modifié l’axe de travail au niveau technique et on a pu ajouter une sixième séance cet hiver-là. Finalement, il y a eu tout un ensemble de conditions très particulières qui ont permis ces fantastiques résultats.
Quelle est votre relation avec les athlètes ?
Pour ceux que j'entraîne depuis tout jeunes, j’ai une relation plus affective qui s'est développée au fur et à mesure. On peut se faire des petits cadeaux, s’intéresser un peu plus à la vie de chacun, parfois je discute également avec les parents pour faire le point. En général, je ne suis pas dans l'autoritarisme, plutôt dans la persuasion, et je veille à entretenir le moral et la confiance dans les périodes de difficultés. Je leur lance des petits défis pour entretenir la motivation. Je préfère les séances où il n'y a pas trop d'athlètes, ça laisse le temps d'échanger plus facilement, ce sont des moments importants.
Avez-vous un modèle d'entraîneur, dans l’athlétisme ou dans un autre sport ?
J'ai eu la chance d'assister à des séances de Walter Ciofani avec les jeunes. Il mettait beaucoup d'entrain et il mettait l'accent sur la réussite du point précis à travailler à tel ou tel moment, même si par ailleurs cela faisait perdre des repères. Les jeunes sortaient contents de leur lancer, et en confiance, même s'ils avaient manqué le final, parce qu'ils avaient réussi l'objectif précis fixé avant le lancer. Certains me parlent encore de cette rencontre.
Trois mots pour définir votre groupe ?
Bonne humeur. Cohésion. Envie de progresser.
Propos recueillis par Renaud Goude pour athle.fr
Pour sa première édition le meeting national indoor de Lyon avait réuni un plateau de choix pour le concours du saut en hauteur féminin avec les meilleurs françaises et quelques étrangères de haut niveau comme l’ukrainienne Oksana Okuneva créditée d’un record personnel à 1m98. Et, malgré quelques défections de dernière minute pour cause de covid, on a assisté vendredi soir dans la salle de La Duchère à un très beau concours qui a notamment permis à la grenobloise Juliette Perez de l’emporter en réalisant la meilleure performance française de la saison avec un saut à 1m82 devant Okuneva 1m80. Quant à la sociétaire de l’EAC, Paloma Passot, elle a profité de l’ambiance électrique de la soirée pour se mêler à la bagarre et rajouter 2 cm à sa meilleure marque de dimanche dernier. Son saut à 1m74, réussi au 1° essai, la classe 5°, seulement battue aux essais par la portugaise Neto. Troisième française du concours, elle rentre dans le top 8 national avec cette performance et peut maintenant envisager de poursuivre sa saison en salle jusqu’aux France Elite de Miramas. Prochain objectif, les régionaux dans 15 jours à Clermont Ferrand avant sans doute le championnat de France national dans cette même salle de La Duchère.
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Article de Gilles Berliat
Samedi 15 janvier, se sont déroulés les Championnats Régionaux masters dans la salle d’Aubière (près de Clermont-Ferrand). Trois membres du club y ont défendu nos couleurs.
En M45, un sprinter pur Stéphane Simon et un sprinter hurdler Benoît Thommerel et en M65, un couteau Suisse (autre nom des combinards) Serge Le Thérizien. Sur le 60m Haies, Benoît est seul en lice et, malgré le manque d’émulation, réussit un beau 9’’14. Sur 60m, 5 M 45 forment la finale où sur la dernière foulée, Benoît devance Stéphane d’un centième 1er et 2ème en 7 ‘’89 et 7’’90. Sur 200m, Stéphane et Benoît gagnent leur finale respective, mais, au temps, Benoît a le titre (25’’28), Stéphane est vice-champion Régional (25’’41).
Quant à Serge, il en avait assez de râler sur le fait qu’il était impossible de faire un heptathlon dans sa catégorie et dans la région.
Aussi, il s’est inscrit dans 6 des épreuves de l’hepta. Cela lui a permis de vérifier que l’enchainement longueur, 60m H et perche en moins d’une demi-heure le matin et poids, 60m et hauteur en 1 heure l’après midi, ce n’est pas optimal. Ensuite, il est sorti sur la piste extérieure et a fait le 1000m qui manquait, encouragé par les copains du club et chronométré par un autre décathlonien, de Grenoble. Résultat : 4’44’’58. Malgré 4 mauvaises performances et 3 correspondant à ses objectifs (2 mètre à perche, 1,24m en hauteur et 7,51m au poids), il revient avec 6 titres (oui, il était tout seul !!) et en calculant qu’avec ces résultats, il aurait battu le record régional de sa catégorie sur l’hepta de plus de 200 points.
En conclusion, nos masters reviennent avec 9 titres de Champion Régional et 2 titres de vice-champion. Un beau challenge pour les jeunes catégories du club : faire aussi bien dans leurs Championnats respectifs !! (il est vrai qu’ils risquent d’avoir plus de concurrence !)
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Article de Serge Le Thérizien
Les problèmes sanitaires n’épargnent personnes et les athlètes de l’EAC comme les autres. Si l’on ajoute quelques blessures, on se retrouve avec une délégation chambérienne amputée d’un bon tiers de ses éléments de base. Dans ces conditions difficiles, les performances réalisées ce dimanche à Lyon font du bien au moral.
Et ce n’est bien sûr pas un hasard si ce sont les leaders de l’équipe féminine qui occupent le devant de la scène comme Océane Verschoore, qui signe son retour sur la piste après 3 mois d’arrêt pour une grosse blessure avec 2 excellents chronos, 7’’77 au 60m et 25’’07 au 200m. Une belle option déjà pour un billet de retour sur cette même piste de La Duchère en Février pour les championnats de France « espoirs et national ». Sa camarade la sauteuse en hauteur Paloma Passot reviendra, elle, dés vendredi à la salle Stéphane Diagana pour le 1° meeting international de Lyon. Ses 1m72 franchis au 1° essai laissent à penser qu’elle a les armes pour bien figurer dans un concours où sera présente l’élite du saut en hauteur français. Manon Capelle, elle aussi, peut penser sérieusement aux championnats de France puisqu’elle continue à rajouter quelques centimètres à son record du club au triple saut en bondissant à 11m63. Et si l’on ajoute que Jenna Baccari, 5m28 dimanche en longueur, revient tout doucement en condition, on devrait rapidement retrouver un duo de triple sauteuse au plus haut niveau. Chez les plus jeunes, on notera les places en final B du 60m cadettes d’Eve Barnes 8’’61 en séries et Faustine Belle 8’78 ainsi que les 4m61 en longueur de Mina Cueno.
Du côté des garçons, la « tête de gondole » reste Mathis Moiroud. Après son triathlon de décembre 60m, 60m haies et lancer de poids, il a continué sa préparation pour les épreuves combinées en tentant la trilogie des 3 sauts, longueur, hauteur et perche. On peut dire qu’il a connu des fortunes diverses puisqu’il a tout d’abord remporté la longueur en explosant son record avec 6m59, ce qui le classe parmi les meilleurs cadets français. La suite fut plus hasardeuse avec 2 zéros pointés mais avec quelques repères pour la suite ! Autre sauteur à se mettre en évidence, Fabien Kissel, qui a provisoirement oublié sa douleur au genou pour retomber à 6m64 en longueur et 14m15 au triple. Dernière mention pour les sprinteurs avec une nouvelle place en finale pour le cadet Enzo Rigaut 7’’45 au 60m, et même temps pour le junior Quentin Bechtel qui réalise ensuite 24’’39 au 200m. Sur cette distance, Pierre Louis Helle signe un bon 24’’04 et Valentin Hauser retranche 20 centièmes à son record : 24’’07.
Il faut maintenant espérer retrouver dans 3 semaines aux régionaux d’Aubières des troupes au grand complet avec tous les malades et blessés en pleine santé !
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Article de Gilles Berliat
Du 24 décembre au 02 janvier le bureau de l'EAC sera fermé.
Vous pouvez poser vos questions par mail à l'adresse suivante : e.a.c@eachambery.com
On vous répondra à notre retour.
Les employés de l'EAC
Pour ce premier rendez-vous de la saison hivernal organisé dimanche à la salle Stéphane Diagana de La Duchère, les athlètes chambériens ont répondu en nombre. 67 performances enregistrées par une bonne trentaine de sprinteurs, sauteurs et lanceurs, voilà un panier bien rempli en prévision des fêtes !
Cette compétition venant ponctuer une grosse période de préparation intensive, il est évident que le niveau des performances n’est pas encore optimum mais on peut déjà retenir quelques résultats prometteurs pour la suite de la saison. C’est notamment le cas pour 2 leaders de l’équipe féminine, la sauteuse en hauteur Paloma Passot qui franchit 1m68 sans aucune préparation spécifique (à quand une salle où l’on puisse faire de l’athlétisme à Chambéry ?) et la coureuse de 400m haies Manon Capelle qui s’amuse avec une belle réussite au triple saut, 11m56 et sur 200m, 26’’75. Toujours chez les sprinteuses, on notera les 8’’23 sur 60m d’une autre hurdleuse Clarisse Haumonte et les bons temps des cadettes Sihem Bendjebbour 8’’35 sur 60m et 28’’08 sur 200m et Noélie Sega qui réalise 8’’42 sur 60m et remporte le lancer de poids avec 10m27. Dans cette même discipline, Manel Yahia lance à 11m04 pour son premier concours au poids de 4 kgs. On saluera également les très bons débuts de la cadette Morgane Masson 9’’74 pour son premier 60m haies ainsi que les 5m06 de la néo-chambérienne Jenna Baccari qui vient tout juste de reprendre l’entraînement.
Du côté des garçons, l’homme en forme s’appelle Mathis Moiroud. Avec 7’’27 au 60m cadets, 9’’01 au 60m haies, 6m29 en longueur et 11m07 au lancer de poids, on peut dire qu’il a bien occupé sa journée ! les sprinteurs se sont aussi montés à leur avantage, notamment le cadet Enzo Rigaut 7’’40 au 60m, Quentin Bechtel 7’’37 au 60m et surtout 24’’10 au 200m ou Valentin Hauser 24’’27 au 200m. Enfin une mention spéciale au master Benoit Thommerel qui avec ses 9’’04 au 60m haies garde une petite avance sur son fils Ewan 9’’42 pour ses grands débuts sur les haies cadettes …
On retrouvera avec plaisir tous ces athlètes au mois de janvier pour les championnats des Alpes ainsi, on l’espère, que les grands absents du jour, bien remis de leurs blessures, comme Océane Verschoore, Méline Coulet, Fabien Kissel, Fabien Laroppe ou autres Martin Cormier pour ne citer qu’eux.
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Article de Gilles Berliat
Un club en plein dynamique !!!
L’Entente Athlétique Chambéry fort de ses 680 adhérents, un des plus gros clubs de l’agglomération Chambérienne, vous permet de pratiquer toutes les disciplines de l’athlétisme, de la course à pieds en loisir à la compétition piste, en passant par nos 5 écoles d’athlétisme pour les enfants de plus de 7 ans. Depuis de nombreuses années l’E.A.C., forme ses adhérents aux valeurs morales de l’athlétisme, Persévérance, Dépassement, Solidarité, Plaisir.
Bonne saison athlétique 2024/2025 !
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